Quand j’ai réalisé ma grande toile « monarques dans la tempête », j’ai travaillé en écoutant l’album de Philip Glass « Glassworks ».
A chaque fois, je reprenais l’album, m’appuyant sur le thème répétitif pour créer du mouvement sur la toile.
Aujourd’hui, je viens de finir un diptyque: « inséparables ».
La toile peut être disposée de deux façons: avec les oiseaux qui s’éloignent, ou qui se rapprochent.
« Les inséparables s’éloignent parfois, pour mieux se retrouver ».
C’est l’album Interstellar de Hanz Zimmer qui m’a accompagné sur cette dernière création.
Prochainement, je devrais « attaquer » une grande toile: « incendies ».
On y trouvera un ciel flamboyant, des dahlias…et une mante religieuse.
Dans un univers un peu apocalyptique.
Je cherche encore la musique qui fait écho à ma « vision ».
Plus tard, j’aimerais travailler une toile assez sombre, une nocturne.
C’est une phrase du poème de Dylan Thomas, que l’on retrouve dans le film interstellar, qui m’accompagnera…« Rage, rage against the dying of the light ».
Dans le titre de cet article, il est question de musiques, mais aussi de photographies…Simplement pour dire que je suis navrée de la piètre qualité de mes photos. Je pourrais faire un appel à quelqu’un d’autre pour prendre mes photos, mais si je veux suivre au plus près mon actu, je n’en ai pas le temps. Toutes mes photos sont floues, car je suis gênée par un tremblement dit « essentiel ». Cela ne se voit pas sur mes peintures, car je pose ma main directement sur la toile ! Donc, pour voir mes toiles nettes, ne pas hésiter à se déplacer sur mes prochaines expos ou venir me rencontrer dans mon atelier (ma cuisine, avec vue imprenable).